TÉMOIGNAGE | Élodie M.*, 43 ans, Infirmière libérale

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« Je suis infirmière libérale depuis 7 ans dans un cabinet où nous sommes trois à exercer notre beau métier. Comme pour nos confrères et consoeurs, notre patientèle est constituée pour l’essentiel de personnes âgées du quartier, que nous visitons 3 à 5 fois par semaine, en général à la même heure le matin ou en fin d’après-midi.

Il y a quelques semaines, j’ai été contactée par une personne de LAB2U (une de mes collègues lui avait donné mon numéro de téléphone). Elle m’a expliqué le fonctionnement du système LAB2U : des patients font des demandes de rendez-vous sur leur smartphone, qui sont envoyées aux infirmiers inscrits sur la plateforme LAB2U. Nous pouvons accepter ou ignorer les demandes en fonction de notre agenda de la journée. Ce qui est vraiment bien, c’est que pour nous il n’y a AUCUNE OBLIGATION : c’est gratuit, et il n’y a pas de « quota » ou quantité de rendez-vous obligatoire. L’autre intérêt de LAB2U, c’est le fait que le service est destiné à des personnes « comme vous et moi », qui travaillent et n’ont tout simplement pas envie d’aller patienter au laboratoire avant de courir au bureau. J’y vois l’occasion de rencontrer de nouvelles familles de mon quartier et un type de patient différent de celui que je visite habituellement.

En plus, LAB2U a pensé à quelques détails qui nous facilitent l’intervention. Par exemple, nous avons accès à l’ordonnance du patient avant l’intervention à domicile, ce qui nous permet de mieux la préparer et d’être informés des particularités des prélèvements à effectuer. Autre exemple : LAB2U nous met à disposition des étiquettes code-barres à numéro unique que nous n’avons qu’à coller sur les tubes de prélèvement, au lieu que nous ayons à écrire le nom du patient en tout petit (avec des risques d’erreur). Il suffit ensuite de scanner chaque tube pour qu’il soit rattaché à la fiche du patient.

En conclusion, je dirais que le système LAB2U, c’est tout bénéfice pour les patients et les infirmiers libéraux ! »

 

*Pour des raisons de confidentialité et d’interdiction de publicité, l’identité de la personne interrogée a été modifiée et le témoignage est réécrit à partir de celui de plusieurs infirmiers